Les Frères musulmans, organisation promouvant l’islamisation des sociétés dans lesquelles elle s’active, a fait l’objet d’un large focus cette semaine depuis la publication du rapport des autorités françaises montrant leur caractère pernicieux et les risques que cette organisation faisait courir sur les régimes démocratiques occidentaux en termes d’atteintes aux libertés.
Emmanuel Macron a demandé des mesures bien plus fortes que celles prévues dans un premier temps contre cette organisation et pour lutter contre l’entrisme islamiste que l’on voit se propager partout comme dans l’enseignement, la politique, les domaines sportifs ou culturels.
La Russie a été l’un des premier pays du monde à classer la confrérie parmi les groupes terroristes, en 2003, dans un contexte d’insurrection islamiste en Tchétchénie et a décidé de les interdire.
La Syrie de Bachar al-Assad, allié de la Russie, prend la même mesure en 2013. Le dictateur syrien craignait un scénario à l’égyptienne où, en 2012, la confrérie a fait élire leur candidatMohamed Morsi. Il est renversé en 2013 par son successeur Abdel Fattah al-Sissi, qui décide alors d’interdire le mouvement et même d’emprisonner certains dirigeants.
En 2014, l’Arabie saoudite interdit également les Frères musulmans, alors que (…)
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.@21NewsBE: Frères musulmans : de l'Égypte, à l'Autriche, ces pays ont d’ores et déjà interdit l’organisation. Bientôt la France et Belgique ? – https://t.co/fvy0aMqYEN
— hollebeke michel (@hollebekemichel) May 25, 2025
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