La coprésidente d’Ecolo Marie Lecocq a traité la N-VA de parti « raciste« , déclenchant un nouveau tollé la semaine dernière. Cette affirmation est une triple erreur qui montre que la direction d’Ecolo n’a rien compris à sa dernière raclée électorale.
Des élus en interne veulent se distancier de cette radicalité qui a fait perdre beaucoup de plumes aux Verts en juin dernier. Même constat lors des communales d’octobre, au terme desquelles les écolos ont quasiment perdu tous leurs mayorats. En cause : un glissement idéologique vers un parti d’extrême-gauche tendance LFI (La France Insoumise) qu’on a pu observer depuis plusieurs mois. Les plus pragmatiques veulent en revenir à un discours plus lisse qui leur a permis, sous Jean-Michel Javaux ou avec des personnalités comme Christos Doulkeridis ou Olivier Deleuze, de réaliser des scores conséquents aux niveaux national et local. La coprésidence actuelle va plutôt dans le sens de la radicalité, ce qui ne va sans doute pas aider le parti à se relever.
La dernière sortie sur la N-VA constitue une triple erreur. (…)
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En traitant la @de_NVA de raciste, @Ecolo montre qu’il n’a rien appris de ses raclées électorales. Des élus en interne veulent se distancier de cette #radicalité qui a fait perdre beaucoup de plumes aux Verts en juin dernier. Un édit de @21NewsBE à lire :… pic.twitter.com/GjuA7G9UcC
— Alain Schenkels (@Aranjarrett) December 23, 2024
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